P9080140.JPG la_1Bis__01.jpg P9020319.JPG baniere.jpg Bastit-2016-002_01.JPG Belettes-12.JPG Belettes-36.JPG PB-2016-003_01.JPG cycliste1.png P5040091.JPG VTT-2016-004_01.JPG P10607591.jpg VTT-2015-002_01.JPG Bastit-2016--01.JPG PICT4546.jpg Belettes-92.JPG VTT-01-Bruniquel-2016.JPG PB-2016--001.JPG P9010256.JPG Bastit-2016--001.JPG Belettes-2.JPG

Ci-dessous le voyage du club effectué du 6 au 8 septembre : 

Départ de Montauban 5h00

Petit déjeuner à ST LAURENT D’ARCE à 8 heures au restaurant « D’ici et d’ailleurs »

Passage du bac à BLAYE à 12 heures

Hébergement ST LAURENT MEDOC au Camping « LE PARADIS »

1er jour ST LAURENT D’ARCE / ST LAURENT MEDOC

Départ 9h00 après le petit-déjeuner

Circuit 1 op 9296956
Circuit 2 op 9354741
Visites : BOURG, BLAYE et sa citadelle, bac sur la gironde, D2 Route des Grands Crus,
Châteaux du Médoc.
Villages : BAGES, MARGAUX, PAUILLAC

2eme jour ST LAURENT MEDOC / ST LAURENT MEDOC
Départ 9h00
Circuit 1 op 9306045

Circuit 2 op 9315518
Visites : Pointe de GRAVE, les carrelets sur la gironde, phare de RICHARD
Villages : SOULAC, LE VERNON / MER, ST ESTEPHE, VERTHEUIL,
LESPARRE MEDOC


3eme jour ST LAURENT MEDOC / GUJEAN MESTRAS ( Port DE MEYRAN )
Départ 9h00
Circuit 1 op 9354788
Circuit 2 op 9349810
Visites : Piste cyclable « la vélodyssée » , bassin d’ARCACHON, dégustation d’huitres
Villages : LACANAU OCEAN, ARES, BIGANOS, GUJEAN MESTRAS ( Port de
MEYRAN )

Possibilité de dégustation d’huitres : 1 douzaine + un verre de vin blanc (Entre Deux mers) :
10,00 €

Départ du bus vers 17h00

Autres articles : Voir en PJ au bas de la page (PDF)

 

Le VCM dans le MEDOC   6-7-8 septembre 2019

Livret 1 Mdoc 12

 

Le Médoc (en gascon Medòc [meˈðɔk]) est une région naturelle française située dans le département de la Gironde en région Nouvelle-Aquitaine.
Cette région est délimitée par l'océan Atlantique à l'ouest, la Gironde à l'est, la pointe de Grave au nord, la forêt des Landes et les marais de Bruges au sud.
On y distingue trois parties : le Bas-Médoc, le Haut-Médoc et les Landes, et deux terroirs, le célèbre vignoble du Médoc le long de l'estuaire, et les Landes du Médoc vers l'océan. Sa capitale est Lesparre-Médoc, siège d'une importante seigneurie (sirie ou sirerie de Lesparre) sous l'Ancien Régime, d'une sous-préfecture de nos jours. Du fait de sa situation au cœur du vignoble, Pauillac est un centre économique im-portant. Le littoral est parsemé de petites stations balnéaires : Soulac, Montalivet, Carcans, Hourtin ou en-core Lacanau. Depuis 2019, une partie du territoire a été constituée en parc naturel régional : le parc naturel régional du Médoc.

 

Mdoc 2

Vendredi 6 septembre 2019:

Mdoc 3BOURG SUR GIRONDE

S'il est une cité girondine dont le passé historique fut mouvementé, c'est bien Bourg, la coquette cité que baigne la Dordogne, près de son confluent avec la Garonne.
Bourg a été créée au quatrième siècle par la famille des Paulin. Tout d'abord centre commercial très impor-tant, elle devient par la suite une ville fortifiée. Au début du ve siècle, les Wisigoths envahissent l'Aquitaine, et s'établissent très fortement à Bourg. C'est l'ère des grandes invasions : au cours des quatre siècles sui-vants, cette région est ravagée successivement par les Mérovingiens, les Gascons, les Sarrazins,les Carolingiens et les Normands.
Durant la guerre de Cent Ans, Blaye, clé militaire de la défense de l'Aquitaine en sa qualité de dernier bas-tion fortifié en aval du port de Bordeaux, est plusieurs fois prise et reprise par les belligérants. Du fait de son adhésion, en 1379, à l'alliance bordelaise de défense contre les troupes françaises, la ville fortifiée de Bourg est qualifiée de filleule de Bordeaux4 ; cette alliance favorise de nombreux échanges commerciaux avec la capitale girondine.
La ville haute a par la suite accueilli Charles VII (après que Bertrand IV de Montferrand, seigneur
de Langoiran, se soit rendu à Dunois), Charles IX et François Ier. Louis XIV y a également résidé pendant la Fronde du 27 août au 2 octobre 1650.
Elle fut chef-lieu de district de 1790 à 1795. Bourg a absorbé Lalibarde (217 habitants en 1800) avant 18065.
D'anciennes carrières de pierre situées dans la falaise, sous le château de la citadelle, ont été transformées en cuves à pétrole en 19396. Sept cuves de 44 à 65 mètres de long sont alors creusées, sur une hauteur de 11 mètres sous plafond et 8,50 mètres de large7. En juin 1940, l'armée allemande en prend possession. Elle y stocke des produits pétroliers livrés par des cargos italiens jusqu'en 1944. Un pétrolier italien, le Clizia, est sabordé par la Kriegsmarine en août 1944. Son épave gît encore dans la Dordogne.Aujourd'hui, Bourg est une ravissante cité bâtie sur un piton rocheux, on y trouve des remparts, le château de la Citadelle, un lavoir, des ruelles étroites et pittoresques qui dévalent vers le port ... La richesse patrimo-niale et architecturale de cette cité lui vaut le classement « village ancien »

                           

Mdoc 4

BLAYE

Durant des siècles, Blaye fut un point de passage particulièrement commode pour qui venait du nord et se rendait à Bordeaux ou plus au sud, vers l'Espagne et le Portugal.
Fortifié depuis l'antiquité, ce site éminemment stratégique n'a été modernisé qu'à la fin du xviie siècle, sous l'égide de Vauban. C'est en effet en 1685 qu’il proposera la construction d'un véritable verrou sur la Gironde pour « se rendre maître de la rivière » et tenir Bordeaux en respect « s'il lui arrivait de faire la bête »
C'est alors que sera construite la citadelle de Blaye qui constitue l'élément majeur du dispositif de contrôle de l'estuaire. Dominant le paysage urbain, cet imposant édifice est classé au patrimoine mondial de l'Unesco depuis 2008, dans le cadre du réseau des sites majeurs de Vauban.
Capitale du Blayais, la ville est également réputée pour ses vignobles s'étendant sur près de 6 000 hectares.

 

 

 

 

 

 

Mdoc 5

 

PAUILLAC

Les traces de Pauillac remontent à la préhistoire, mais c'est au xviiie siècle, avec l'expan-sion du commerce des vignobles et de la pêche que la ville prend le visage qu'on lui connaît aujourd'hui. Grâce à sa situation en bord de Gironde, aux xixe et xxe siècles, des industries lourdes s'implantent à Pauillac (hauts-fourneaux, société pétrolière Jupiter...). Pauillac fut le point de départ des grands paquebots transatlantiques à destination de l'Amérique du Sud.
En 1777, Gilbert du Motier, marquis de La Fayette appareilla de Pauillac sur les bords de la Gironde afin de joindre les Amériques, pour secourir le peuple américain durant la guerre d'indépendance américaine. Une stèle en bronze représentant son vaisseau La Victoire est d'ailleurs érigée au bord du port de la ville, sur l'esplanade de La Fayette.

 

 

 

 

 

 

 

Samedi 7 septembre 2019:

Mdoc 6LESPARRE MEDOC
Principale agglomération du Bas-Médoc, elle dispute à Pauillac et Saint-Laurent-Médoc le titre de
« capitale » du Médoc. La commune est située dans la partie septentrionale du département de la Gironde, Chef-lieu de canton et d'arrondissement, elle se trouve à environ 60 kilomètres au nord-ouest de la préfecture régionale et départe-mentale, Bordeaux, 20 kilomètres au nord-ouest de Pauillac et à une trentaine de kilomètres au sud-est du Verdon-sur-Mer, à l'entrée de l'estuaire de la Gironde.Localisée dans la partie nord de la péninsule du Médoc, dont elle est la capitale elle est plus exactement à la jonction du Bas-Médoc (auquel elle appartient), du Haut-Médoc ou Médoc viticole et des Landes du Médoc.
Au nord et à l'ouest de la commune s'étendent des prairies humides semi-naturelles et des marais draînés par des jalles — régionalisme désignant un petit cours d'eau — (Jalle de Lherneau).
Les marais de Lesparre, autrefois appelés « Petite-Hollande » ou « Petite-Flandre » s'étendent jusqu'à la Gironde, Ces « mattes » ou « palus » ont été aménagés au xviie siècle par des Flamands et des Hollandais, avant d'être modernisés (amélioration ou percement des voies d'eau : chenal de Richard, canal de Lescapont, petit chenal de Guy...) au xixe siècle grâce aux efforts d'une compagnie concessionnai-re, la « commission syndicale des marais de Lesparre »2. Enfin, indépendamment des marais, le sud et l'est de la commune sont également traversés par plusieurs ruisseaux (Bernède, Maillarde, Zic, Berle).
La forêt couvre une grande partie sud du territoire communal, surtout des forêts de résineux (pinède ou  pignada ) qui ont colonisé les sables landais au xixe siècle. Le reste est essentiellement dévolu à la viti-culture, à la céréaliculture et plus particulièrement la maïsiculture et à l'élevagc. Centre administratif et commercial, elle est une des cinq sous-préfectures du département.

 

Mdoc 61

LA POINTE DE GRAVE
La pointe de Grave (en occitan : punta de Grava) est un cap marquant l'extrémité septentrionale du Médoc et du département de la Gironde. C'est également la limite nord des Landes de Gascogne, de la Gascogne, de la forêt des Landes et de la côte d'Argent.
Dépendant administrativement de la commune du Verdon-sur-Mer, ce verrou naturel faisant face à  Royan et à la presqu'île d'Arvert est une des « portes » de l'estuaire de la Gironde, qui baigne sa côte orientale, tandis que sa rive occidentale est bordée par l'océan Atlantique.

 

 

 

 

 

Dimanche 8 septembre:

LE BASSIN D’ARCACHON
Le bassin d’Arcachon (Laca d'Arcaishon en gascon) est une lagune mésotidale1 située dans les Landes de Gascogne, en Gironde, entre les villes de La Teste-de-Buch au sud, Lège-Cap-Ferret à l’ouest et le delta de la Leyre à l’est. Lui seul interrompt le cordon dunaire de 250 km de la Côte d’Argent, qui s'étend de l’estuaire de la Gironde à l'embouchure de l'Adour. À la différence des grands lacs landais, il est largement ouvert sur l’océan Atlantique par l’intermédiaire des passes du bassin d’Arcachon et constitue unepetite mer intérieure de 155 km² à marée haute et de 40 km² à marée basse. On y pratique l’ostréiculture, la pêche et la navigation de plaisance. Depuis le 8 juin 2014, il abrite le parc naturel marin du bassin d'Arcachon.

Mdoc 7

Mdoc 71

 

L’ostréiculture arcachonnaire

L'ostréiculture est, après le tourisme, l'activité éco-nomique dominante sur le bassin d'Arcachon. Le bas-sin d'Arcachon est l'un des principaux centre ostréicole de France, on y élève l’huître creuse (Crassostrea gigas).
Le sud du bassin, entre La Teste et Gujan-Mestras, tout en ayant gardé un certain cachet traditionnel ont peu à peu évolué vers une « industrialisation » des installations ostréicoles. Les ports ostréicoles du Sud-Bassin sont le moteur de l'ostréiculture arcachon-naise. On rencontre 10 ports d'est en ouest sur le sud
bassin : La Molle, La Barbotière, Huitres du Cap Ferret Le Canal, Larros, Gujan, Meyran, La Hume,
Rocher, La Teste, L'Aiguillon.